La FIA a réécrit des parties de ses règles sportives pour empêcher les lacunes exploitées par les équipes de Formule 1 en ce qui concerne les voitures qui commencent des stands et tentent de continuer après les incidents.
Avant la nouvelle saison F1, l’organe directeur du sport a pris la décision de modifier les zones des règles pour empêcher les équipes visant à acquérir des avantages dans des contextes spécifiques, le premier changement notable à l’article 43.8.
Motorsport.com a rapporté que cet article stipule maintenant que «toutes les voitures à partir du Pitlane capable de le faire doivent quitter le pitlane et rejoindre le tour de la formation».
Cela rend désormais la formation de la formation A obligatoire, avec des voitures qui choisissent de commencer juste avant que la ligne de sortie de la fosse applique d’abord le tour de formation, plutôt que de sortir du garage à temps avec la grille aligné dans leurs créneaux respectifs.
Les voitures qui choisissent de commencer les stands doivent le faire par ordre qualifiant, mais seront condamnées à rejoindre le dos d’une file d’attente si elles se forment après le signal de pré-course de cinq minutes.
La formulation précédente de l’article indique que ceux qui commençaient dans le pitlan ont pu rejoindre un tour ou des tours de formation supplémentaire derrière la voiture de sécurité (dans des circonstances nécessaires), mais si plusieurs voitures se trouvaient dans cette situation particulière, il était possible que certains puissent se retirer de cela, gagnant des positions lorsque d’autres entraient dans le Pitlan pour le début.
La reformularité empêche maintenant cela, la première des trois lacunes.
La seconde était que, si le démarrage de la course était interdit et nécessitait un deuxième tour de formation, les voitures qui ont commencé à partir des stands émergeraient de son garage, en fait, ayant fait un tour de moins que tous les démarreurs réguliers, leur donnant ainsi un avantage en carburant, ce qui pourrait s’avérer crucial dans les étapes de dernière série d’un Grand Prix.
La troisième lacune était centrée sur le scénario d’une course commençant dans les conditions de la voiture de sécurité en raison du temps humide extrême.
Ceux qui commençaient dans les stands auraient eu le luxe d’attendre un tour sur un composé différent si la piste séchait, leur donnant un avantage une fois sur piste car ceux qui commençaient sur le circuit se feraient alors de la mise en place du composé plus approprié.
Une nouvelle reformularité de la FIA empêche l’échappatoire en voiture endommagée
La deuxième partie des règles sportives qui a été reformulée par la FIA est l’article 26.10, donnant à la directrice de la course de la F1 Rui Marques le pouvoir d’imposer un arrêt de voiture endommagé sur la piste s’il est endommagé de telle manière que cela pourrait causer un détriment à une autre voiture s’il décide de revenir aux bourses.
La réécriture se lit maintenant: «Tout conducteur dont la voiture a des dommages importants et évidents à un composant structurel qui se traduit par une condition présentant un risque immédiat de mettre en danger le conducteur ou d’autres, ou dont la voiture a une défaillance ou une faute significative, ce qui signifie qu’il ne peut pas raisonnablement retourner à la piste sans que ce soit inutilement imptétirant un autre concurrent ou autrement pour entraver la compétition, doit laisser la piste dès qu’il est sûr de le faire.
«À la seule discrétion du directeur de la course, si une voiture est considérée comme ayant des dommages aussi importants et évidents à un composant structurel, ou une défaillance ou une défaut aussi importante, le concurrent peut être informé que la voiture doit quitter la piste dès qu’il est sûr de le faire.»
Cela semble suggérer que la FIA a ramené son changement précédent en 2022, dans lequel il a informé les fonctionnaires de réduire l’utilisation du drapeau en noir et orange, qui est agité lorsqu’une voiture est jugée suffisamment endommagée pour provoquer potentiellement le danger pour les autres, ce qui le nécessite pour se réparer.
Le changement a laissé une grande partie des décisions dans de tels scénarios entre les mains des équipes concernées, laissant une obscurité dans l’interprétation de la règle, et les équipes protestant contre un manque de cohérence lorsque les commissaires sont intervenus.
Au Grand Prix américain 2022, Haas a protesté le résultat final après que Sergio Perez et Fernando Alonso aient terminé la course sans pénalité, malgré les deux voitures endommagées dans des incidents séparés.
La plaque d’extrémité de l’aile avant du mexicain est tombée sur le circuit vers la fin de la course, avec Alpine d’Alonso, perdant son miroir de droite après que l’Espagnol est entré en collision avec Lance Stroll.
L’équipe américaine a exprimé son objection après que le pilote Kevin Magnussen a été montré en noir et orange à trois reprises plus tôt cette année, chacun pour des dégâts similaires à celui de Red Bull de Perez.
La reformularité des articles donnera sûrement à la FIA l’espoir que l’ambiguïté potentielle dans ses émissions précédentes éradiquera désormais toute exploitation potentielle, garantissant ainsi que tout état de prédicaces ultérieur sera supprimé.
